Biblio Classique : L’avare

د.م. 15,00

L’avare est une pièce en cinq actes et en prose écrite en et présentée en 1668 au Palais Royal.

Harpagon est un riche bourgeois, veuf, et père de deux enfants : Cléante et Élise, tous deux amoureux. Cléante est épris de la belle Marianne, une jeune fille pauvre, et Élise de Valère, un gentilhomme napolitain qui s’est introduit dans la maison en qualité d’intendant. Les deux jeunes gens craignent tous deux pour leurs amours, en raison de l’avarice très prononcée de leur père. Quant à Harpagon, il est sans cesse tourmenté par une cassette contenant dix mille écus d’or, enterrée dans son jardin. Son possible vol l’angoisse et le plonge dans de perpétuels soupçons portés même sur ses propres enfants. C’est alors qu’il lui vient l’idée de marier sa fille à Anselme, un vieillard, et son fils à une veuve. Mais Harpagon doit essuyer le refus énergique de sa fille. Il dépêche alors auprès de la jeune fille son intendant, Valère, pour lui faire accepter l’union. Quant à Cléante, il songe à fuir. Pour y parvenir, il tente d’emprunter quinze mille francs à un prêteur, qui n’est autre que son père, et trouvé par son valet. Devant des conditions inacceptables de prêt, le père et le fils s’opposent violemment. Les deux jeunes gens parviendront-ils à faire fléchir le vieil avare ?